V3C au Sunset Bike du circuit du Castellet
Ou, comment rouler sur circuit en silence, sans essence mais avec une bonne dose de fun
Le 20 août, nous avions troqué la sortie route du mardi matin pour un autre type de roulage inédit pour V3C, …, une sortie vélo sur circuit, et pas des moindres, le Paul Ricard du Castellet.
Un événement accessible à tous, enfants, familles et sportifs de tous niveaux en VTT, vélos de route, de triathlon, à roues à bâtons ou lenticulaires ou VAE.
Chacun roule à son rythme.
4 engagés de V3C pour ce sunset bike (session vélo au soleil couchant) de 19h00 à 22h00.
Rendez-vous avait été pris par Véronique, Loys et Jean-Louis avec Philippe (Transon).
A l’entrée du circuit, direction le parking du paddock où nous retrouvons Philippe pour une petite discussion amicale tout en déchargeant les vélos.
Le temps de récupérer nos bracelets d’accès et c’est l’ouverture de piste.
Accès à la pré-grille, puis à la voie des stands, feu vert et c’est parti pour les 5,8 km et 40 m de dénivelé du tour de chauffe, pas pour la mécanique ni pour les freins ou les pneus mais pour l’échauffement des cyclistes.
La safety car nous double pour une dernière vérification de la piste, pas de soucis, elle rentre aux stands.
On enchaine donc les tours à bon rythme, voire même plus pour certains.
Loys et Philippe ont intégré un groupe d’une quarantaine de furieux qui roulaient à un bon 35 km/h de moyenne avec des pointes à près de 50 km/h sur le plat.
Petit passage sur le vibreur pour Loys serré à l’intérieur d’un virage par les furieux.
Ce n’est pas une course, mais, un circuit, même en vélo, ça incite à rouler fort.
Notre président aurait certainement adoré.
Après 5 à 6 tours, arrêt aux stands, pour ravitailler les cyclistes avec leur carburant préféré, la barre énergétique ou la banane.
Et c’est reparti, sous un magnifique coucher de soleil et bientôt à la tombée du jour et dans la nuit.
Le circuit est éclairé, mais certains secteurs restent assez sombres.
En vélo, ça va, mais au Bol d’Or moto, même avec les phares, ça doit être une autre histoire.
Et la nuit, sur un circuit, c’est redoutable.
Panne de dérailleur électrique pour Loys (bon, d’un côté, si tu n’as pas chargé la batterie, ça marche moins bien …) qui a terminé avec seulement quelques vitesses opérationnelles.
Et panne d’énergie nutritive pour Véronique qui avait faim.
La pendule tourne, 7, 10, 12 et 13 tours respectivement pour Véronique, Jean-Louis, Loys et Philippe et, au final, quelques centaines de mètres de dénivelé.
Quelques tours de plus ?
Non, déjà 22h00, feu rouge, piste fermée, dommage, car bien qu’un peu fatigués, on s’était pris au jeu.
Débriefing entre nous en prenant un petit en-cas et une bière fort appréciée (merci Loys) avant de repartir, avec la promesse
de revenir en 2025 et pourquoi pas aux 24h vélo.
C’est une belle expérience, sportive, atypique, sympa et conviviale et une opportunité rare de faire du vélo sur ce circuit de renommée mondiale.
Et, ce fut l’occasion de retrouver Philippe.
Ci-joint, le Relive du parcours
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